Durant le mois de décembre 1965, les discussions avec la Préfecture de région permettent des avancées importantes : les spéléologues intervenant en secours pourront être requis par écrit, prétendre à des remboursements de frais. La procédure de renforts interdépartementaux est assouplie, nul besoin de passer systématiquement par la Préfecture de région. Les Conseillers Techniques feront désormais appel aux équipes qu'ils estiment les plus compétentes. Un numéro d'appel « ''SOS jour et nuit ((LYON 28.88.88)'' » est mis en place. Il est aussi convenu que chaque département ait son propre plan de secours. Enfin, les Conseiller Techniques Adjoints ne sont plus obligés d'opérer sous la tutelle de Charles SCHAFFRAN.
Dans la foulée, les statuts du Spéléo Secours Rhône-Alpes sont rédigés. Le siège de l'association est fixé à Grenoble, au siège du syndicat d'initiative. Le premier président est Fernand PETZL. De l'association en elle-même, nous n'avons que les statuts qui nous apprennent que les buts de cette structure sont de rassembler les clubs de spéléologie et les sauveteurs et les spéléo des départements de Rhône-Alpes. Elle se doit aussi de favoriser, coordonner, participer à l'organisation est aux manœuvres et exercices de secours spéléo, tenir à jour les listes d'appel et toute documentation nécessaire, aider les spéléologues victimes d'accidents ou leur famille, dans la mesure du possible. Nous ne connaissons ni les membres du bureau, ni la date de création. Des comptes-rendus d'intervention sont rédigés à l'entête du Spéléo-Secours Rhône-Alpes ([[:1966-05-01 : Grotte de la Courtouphle|Courtouphle]], tanne aux Enfers...).
Consécutivement au secours à la [[:1966-05-01 : Grotte de la Courtouphle|grotte de la Courtouphle ]] en 1966, Fernand PETZL note :
« ''LETRÔNE,''