Modifications

Sauter à la navigation Sauter à la recherche
aucun résumé de modification
Consécutivement au secours à la grotte de Courtouphle en 1966, Fernand PETZL note :
« ''LETRÔNE,''
''VOLLET vient de me téléphoner que les gars de l'Isère ne seront pas pris en charge par l'Ain donc pas remboursés de leurs frais, c'est le bouquet. L'appel des accidentés aurait dû passer par la Protection Civile de l'Ain qui l'aurait transmise au Rhône, qui à son tour l'aurait transmise à l'Isère. Lorsque tous ces corniauds auraient été touchés et à condition qu'ils soient d'accord, nous aurions pu partir mercredi ou jeudi... Tout ça ne va pas. Le plan régional est une ordure dont il faut se débarrasser au plus tôt, de toute façon, tu fais fausse route avec ce grignotage des Préfectures une à une. Celle de l'Isère est trop faite du précédent de la SDSM qui ne lui coûte pas un centime pour marcher. Réfléchi bien, ils nous auront à l’usure, moi le premier car cet état de chose qui dure depuis 3 ans n'a aucune raison de cesser si nous ne modifions pas les données. Mis au pied du mur, DOUARD s'écrasera, il n'y entend rien et c'est à nous de lui donner la marche à suivre ou alors les secours en grotte n'existeront jamais.''»
Dans le même temps, le Service National de la Protection Civile de Paris dote les équipes locales de matériel. Dans sa lettre du 6 mars 1965, Michel LETRÔNE remercie le chef de ce service et en profite pour transmettre une liste indispensable pour les départements de l'Ardèche, de la Savoie et de la Haute Savoie. En outre, il demande des pitons, mousquetons, cacolets, perche Barnaud et jumars pour Grenoble, Valence et Lyon et un modèle de brancard autrichien destiné à être stocké à Grenoble.

Menu de navigation