1982-02-22 : Gouffre Berger : Différence entre versions

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Le 21 février, Dominique J., Philippe V., Mario D. et Pierre S., membres du Cercle Lorrain de Recherches Spéléologiques, déséquipent le gouffre Berger. Ils sortent à 22h00, avec 3 heures de retard par rapport à l'horaire prévu et s'égarent en surface alors que le Sornin est sous la neige. À 3h00 du matin, ils s'installent pour bivouaquer.
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Le 21 février, Dominique J., Philippe V., Mario D. et Pierre S., membres du Cercle Lorrain de Recherches Spéléologiques, déséquipent le [[:Catégorie:Gouffre Berger|gouffre Berger]]. Ils sortent à 22h00, avec 3 heures de retard par rapport à l'horaire prévu et s'égarent en surface alors que le Sornin est sous la neige. À 3h00 du matin, ils s'installent pour bivouaquer.
  
 
Le 22 février, à 9h00, Albert OYHANÇABAL est prévenu du retard des 4 spéléologues par la gendarmerie de Sassenage. Le SAMU est mis en pré-alerte et 7 sauveteurs se rendent sur place. Albert OYHANÇABAL demande au chef de la base hélicoptère de faire une reconnaissance.  
 
Le 22 février, à 9h00, Albert OYHANÇABAL est prévenu du retard des 4 spéléologues par la gendarmerie de Sassenage. Le SAMU est mis en pré-alerte et 7 sauveteurs se rendent sur place. Albert OYHANÇABAL demande au chef de la base hélicoptère de faire une reconnaissance.  

Version du 28 mai 2020 à 21:49

Gouffre Berger
22 février 1982
Année 1982
Date 22/02/1982
Massif Vercors
Département Isère
Nombre de Victimes 4
Durée Moins de 12h
Nombre de Sauveteurs 9

Le 21 février, Dominique J., Philippe V., Mario D. et Pierre S., membres du Cercle Lorrain de Recherches Spéléologiques, déséquipent le gouffre Berger. Ils sortent à 22h00, avec 3 heures de retard par rapport à l'horaire prévu et s'égarent en surface alors que le Sornin est sous la neige. À 3h00 du matin, ils s'installent pour bivouaquer.

Le 22 février, à 9h00, Albert OYHANÇABAL est prévenu du retard des 4 spéléologues par la gendarmerie de Sassenage. Le SAMU est mis en pré-alerte et 7 sauveteurs se rendent sur place. Albert OYHANÇABAL demande au chef de la base hélicoptère de faire une reconnaissance.

Lors du survol de la zone, ce dernier repère un membre du groupe qui l'informe que tous les autres sont sortis du gouffre et qu'ils sont en route vers le camp de surface. La caravane de sauveteurs est alors stoppée.

Le coût de l'opération s'élève à 670 Francs.

Sauveteurs engagés

Ont pris part à l'opération :