2007-09-05 : Trou du Glaz : Différence entre versions
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+ | Arrivé rapidement dans les bureaux de la CRS Alpes, à proximité desquels il se trouvait, Thierry LARRIBE, en liaison avec le CODIS 38, détermine les moyens à engager. Les premiers sauveteurs disponibles de la CRS et du SDIS sont répartis en 3 équipes et se voient confier les premières missions. Thierry LARRIBE demande le déclenchement du plan de secours, afin que les moyens de la 3SI et de l’ADRASEC 38 puissent être engagés. | ||
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+ | Le poste de commandement est installé au Col du Coq pendant que les premiers secouristes sont acheminés en hélicoptère, vers les entrées du réseau. En parallèle, les moyens de la 3SI sont mobilisés, par Laurent MINELLI (CTA), une douzaine de sauveteurs et du matériel se déplacent sur les lieux. Le SDIS 38 complète son dispositif en surface en acheminant un poste médical avancé qui sert d’abris chauffé et un véhicule de logistique pour préparer des repas. | ||
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+ | Les premières équipes entrent sous terre entre 15h30 et 17h00. Peu avant 18h00, la vague suivante composée d’une quinzaine de sauveteurs se prépare à s’engager, quand la nouvelle du contact avec les personnes recherchées arrive. On déplore un blessé à la cheville, une grosse déformation de la botte fait soupçonner une fracture. La victime doit être évacuée en brancard. Il faut des moyens supplémentaires en sauveteurs et en matériels. Une demande d’engagement d’un médecin est adressée au SAMU et les secouristes du PGHM (organisme du secours en montagne qui n’était pas de garde) disponibles sont demandés. La 3SI fournit aussi quelques sauveteurs. | ||
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+ | Après médicalisation, la victime est conditionnée dans le brancard. Il est 22h30 quand la civière entame sa remontée vers la surface. 1 heure et 15 minutes plus tard, elle est sortie. Commence alors la redescente à dos d’hommes car l’hélitreuillage n’est pas possible de nuit dans ces conditions. | ||
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+ | Peu avant minuit, le blessé est pris en charge par une ambulance du SDIS 38. Il est acheminé à l’hôpital nord pour être opéré le lendemain. | ||
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+ | == Sauveteurs engagés == | ||
+ | Sont intervenus sur cette opération : | ||
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Version du 9 décembre 2020 à 11:33
Année | 2007 |
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Date | 05/09/2007 |
Massif | Chartreuse |
Département | Isère |
Nombre de Victimes | 1 |
Durée | Moins de 12h |
Nombre de Sauveteurs | 37 |
L’alerte parvient à la permanence du secours en montagne, le mercredi 5 septembre vers 13h30. Elle est transmise immédiatement et simultanément à Thierry LARRIBE, Conseiller Technique Adjoint (CTA) et au CODIS 38. Le CODIS 38 transmet un message (SMS) à l’ensemble des autres Conseillers Techniques.
Arrivé rapidement dans les bureaux de la CRS Alpes, à proximité desquels il se trouvait, Thierry LARRIBE, en liaison avec le CODIS 38, détermine les moyens à engager. Les premiers sauveteurs disponibles de la CRS et du SDIS sont répartis en 3 équipes et se voient confier les premières missions. Thierry LARRIBE demande le déclenchement du plan de secours, afin que les moyens de la 3SI et de l’ADRASEC 38 puissent être engagés.
Le poste de commandement est installé au Col du Coq pendant que les premiers secouristes sont acheminés en hélicoptère, vers les entrées du réseau. En parallèle, les moyens de la 3SI sont mobilisés, par Laurent MINELLI (CTA), une douzaine de sauveteurs et du matériel se déplacent sur les lieux. Le SDIS 38 complète son dispositif en surface en acheminant un poste médical avancé qui sert d’abris chauffé et un véhicule de logistique pour préparer des repas.
Les premières équipes entrent sous terre entre 15h30 et 17h00. Peu avant 18h00, la vague suivante composée d’une quinzaine de sauveteurs se prépare à s’engager, quand la nouvelle du contact avec les personnes recherchées arrive. On déplore un blessé à la cheville, une grosse déformation de la botte fait soupçonner une fracture. La victime doit être évacuée en brancard. Il faut des moyens supplémentaires en sauveteurs et en matériels. Une demande d’engagement d’un médecin est adressée au SAMU et les secouristes du PGHM (organisme du secours en montagne qui n’était pas de garde) disponibles sont demandés. La 3SI fournit aussi quelques sauveteurs.
Après médicalisation, la victime est conditionnée dans le brancard. Il est 22h30 quand la civière entame sa remontée vers la surface. 1 heure et 15 minutes plus tard, elle est sortie. Commence alors la redescente à dos d’hommes car l’hélitreuillage n’est pas possible de nuit dans ces conditions.
Peu avant minuit, le blessé est pris en charge par une ambulance du SDIS 38. Il est acheminé à l’hôpital nord pour être opéré le lendemain.
Sauveteurs engagés
Sont intervenus sur cette opération :
3SI | |||
---|---|---|---|
Philippe AGERON | Benoît CARLIN | Didier BONNARDEL | Paul MACKRILL |
Caroline CURFS | Pascal ORCHAMPS | Vianney OLLIER | Barnabé FOURGOUS |
Tristan GODET | François DE FELIX | Martine GAZELLE | Jean-Marc WOHLSCHLEGEL |
Thierry LARRIBE | François LANDRY | Laurent MINELLI |
CRS ALPES | |||
---|---|---|---|
Philippe CHARRETON | Lionel CHATAIN | Amory de CROUTTE | Benjamin VALLAT |
Nicolas REVELLO | Nicolas HERSANT | Thierry LEBON |
GRIMP | |||
---|---|---|---|
Pierrick GERVAIS | Christophe DUSFOUR | Jérôme ROBERT | Gérald PELEGRINI |
David BRUNEL | Pierre MARECHAL | Jean-Pierre LEGER |
PGHM | ||
---|---|---|
Denis GULLON | Jean POUZET | Sébastien GOSSET |
Jacques ANTOYE | Nicolas CHEVALLIER |
SAMU |
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François ALBASINI |
ADRASEC38 |
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Jean-Paul CANDE |
André FAUGERE |