1996-07-11 : Gouffre Berger : Différence entre versions

De Archives 3SI
Sauter à la navigation Sauter à la recherche
 
Ligne 1 : Ligne 1 :
 +
{{infobox
 +
|title = Gouffre Berger
 +
|subtitle = 11 juillet 1996
 +
|image =
 +
|param1 = 1996
 +
|param2 = 11/07/1996
 +
|param3 = Vercors
 +
|param4 = Isère
 +
|param5 = 6
 +
|param6 = Plus de 4 jours
 +
|param7 = 299
 +
}}
 +
== Le contexte ==
 +
 +
=== Le 1er groupe ===
 +
 +
=== Le 2ème groupe ===
 +
 +
== L'opération de sauvetage racontée par Albert OYHANÇABAL ==
 +
 +
=== Lundi 8 juillet ===
 +
 +
=== Mardi 9 juillet ===
 +
 +
=== Mercredi 10 juillet ===
 +
 +
=== Jeudi 11 juillet ===
 +
 +
=== Vendredi 12 juillet ===
 +
 +
=== Samedi 13 juillet ===
 +
 +
=== Dimanche 14 juillet ===
 +
 +
=== Lundi 15 juillet ===
 +
 +
=== Mardi 16 juillet ===
 +
 +
=== Mercredi 17 juillet ===
 +
 +
== Épilogue ==
 +
299 sauveteurs ont été engagés pour 4 975 heures de missions sous terre dont 3 724 pour les seuls membres du SSF (79%) et 1 072 en surface.
 +
 +
Les appareils de la Sécurité civile de la base de Grenoble ont effectué 26 heures de vol pour cette opération
 +
Il s'agit de la plus grande opération survenue en Isère.
 +
 +
Le coût de l'opération s'élève à 196 748,28 Francs. Après une vive polémique sur le coût de cette opération avec le Maire d'Engins, il apparaît que la commune a été remboursée par le Conseil Général à hauteur de 231 638 Francs. Elle a aussi encaissé le chèque de caution des britanniques pour 10 000 Francs et des sommes versées par les assurances anglaises pour 31 132 Francs. Le total perçu par la commune s'élève à 272 769,71 Francs.
 +
 +
== Les suites ==
 +
 +
La gestion d'Albert OYHANÇABAL est remise en cause par le SSF et par certains isérois. Lui sont reprochés notamment le manque de traçabilité dans le déroulé des événements et l'absence de documents de gestion sur les 4 premiers jours. La préfecture le soutien mais son départ est proche. Il ne gérera plus seul d'opération et laissera sa place en 1998 après plus de 30 ans au service des autres.
 +
 +
 +
== Sauveteurs engagés ==
 +
 +
=== Croix Rouge Française ===
 +
La Croix Rouge Française a assuré une permanence pour fournir des repas. 807 seront préparés. 25 personnes sont intervenues à ce titre :
 +
 +
=>> tableau
 +
 +
=== ADRASEC 38 ===
 +
L'ADRASEC 38 a assuré les transmissions entre le PC, la Molière et l'entrée de la cavité. Ont participé à cette opération :
 +
 +
=>> tableau
 +
 +
=== Les sauveteurs spéléos ===
 +
 +
=>> tableau
 +
 +
== Témoignage de Thierry LARRIBE ==
 +
 +
== Témoignage d'Alain MAURICE ==
 +
 +
== Témoignage de Bernard OYHANÇABAL ==
 +
 +
== Témoignage d'Enzo MINELLI ==
 +
 +
== Témoignage de Jean-François SIEGEL ==
 +
 +
== Sources ==
 +
# compte-rendu d'Albert OYHANÇABAL.
 +
# INFO SSF n°42 septembre 1996.
 +
# Spéléo Secours Isère 1970-2010 : 40 ans de secours souterrain – Comité Départemental de Spéléologie de l'Isère.
 +
# Lettre de Bernard PERAZIO, Conseiller Général en date du 16/04/1999, relative au remboursement du Conseil Général à la commune.
 +
# compte-rendu de Patrick RICHARD, chef de la base hélicoptère de la Sécurité Civile de Grenoble.
 +
# compte-rendu de César GALLO, responsable de la Croix Rouge Française en date du 23 juillet 1996.
 +
# compte-rendu de Jean Paul YONNET, responsable de l'ADRASEC 38.
 +
# compte-rendu financier d'Albert OYHANÇABAL.
 +
 +
 
[[Category:1990-1999]]
 
[[Category:1990-1999]]
 
[[Category:1996]]
 
[[Category:1996]]

Version du 25 novembre 2020 à 22:40

Gouffre Berger
11 juillet 1996
Année 1996
Date 11/07/1996
Massif Vercors
Département Isère
Nombre de Victimes 6
Durée Plus de 4 jours
Nombre de Sauveteurs 299

Le contexte

Le 1er groupe

Le 2ème groupe

L'opération de sauvetage racontée par Albert OYHANÇABAL

Lundi 8 juillet

Mardi 9 juillet

Mercredi 10 juillet

Jeudi 11 juillet

Vendredi 12 juillet

Samedi 13 juillet

Dimanche 14 juillet

Lundi 15 juillet

Mardi 16 juillet

Mercredi 17 juillet

Épilogue

299 sauveteurs ont été engagés pour 4 975 heures de missions sous terre dont 3 724 pour les seuls membres du SSF (79%) et 1 072 en surface.

Les appareils de la Sécurité civile de la base de Grenoble ont effectué 26 heures de vol pour cette opération Il s'agit de la plus grande opération survenue en Isère.

Le coût de l'opération s'élève à 196 748,28 Francs. Après une vive polémique sur le coût de cette opération avec le Maire d'Engins, il apparaît que la commune a été remboursée par le Conseil Général à hauteur de 231 638 Francs. Elle a aussi encaissé le chèque de caution des britanniques pour 10 000 Francs et des sommes versées par les assurances anglaises pour 31 132 Francs. Le total perçu par la commune s'élève à 272 769,71 Francs.

Les suites

La gestion d'Albert OYHANÇABAL est remise en cause par le SSF et par certains isérois. Lui sont reprochés notamment le manque de traçabilité dans le déroulé des événements et l'absence de documents de gestion sur les 4 premiers jours. La préfecture le soutien mais son départ est proche. Il ne gérera plus seul d'opération et laissera sa place en 1998 après plus de 30 ans au service des autres.


Sauveteurs engagés

Croix Rouge Française

La Croix Rouge Française a assuré une permanence pour fournir des repas. 807 seront préparés. 25 personnes sont intervenues à ce titre :

=>> tableau

ADRASEC 38

L'ADRASEC 38 a assuré les transmissions entre le PC, la Molière et l'entrée de la cavité. Ont participé à cette opération :

=>> tableau

Les sauveteurs spéléos

=>> tableau

Témoignage de Thierry LARRIBE

Témoignage d'Alain MAURICE

Témoignage de Bernard OYHANÇABAL

Témoignage d'Enzo MINELLI

Témoignage de Jean-François SIEGEL

Sources

  1. compte-rendu d'Albert OYHANÇABAL.
  2. INFO SSF n°42 septembre 1996.
  3. Spéléo Secours Isère 1970-2010 : 40 ans de secours souterrain – Comité Départemental de Spéléologie de l'Isère.
  4. Lettre de Bernard PERAZIO, Conseiller Général en date du 16/04/1999, relative au remboursement du Conseil Général à la commune.
  5. compte-rendu de Patrick RICHARD, chef de la base hélicoptère de la Sécurité Civile de Grenoble.
  6. compte-rendu de César GALLO, responsable de la Croix Rouge Française en date du 23 juillet 1996.
  7. compte-rendu de Jean Paul YONNET, responsable de l'ADRASEC 38.
  8. compte-rendu financier d'Albert OYHANÇABAL.