1965-05-16 : Grotte Favot : Différence entre versions

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Le dimanche 16 mai, Dominique M., 16 ans, habitant Grenoble, visite la grotte Favot avec un ami. Il est chaussé de tennis et s'éclaire avec une lampe torche, il n'a pas de casque. Il fait une glissade de 8 mètres et enchaîne avec une chute de 15 mètres. Il présente de nombreuses et graves blessures : au fémur, au bassin et au poignet.
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Celui qui l'accompagne sort donner l'alerte, il est 18h45. Fernand PETZL prend la direction des opérations. Une équipe iséroise est amenée sur place vers minuit. Sont déjà là de nombreux CRS, pompiers et gendarmes. Aucun ne peut atteindre la victime.
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Dans son compte-rendu, Fernand PETZL indique que la Protection civile de Grenoble a mis 2 heures avant de le prévenir. Il met en garde les autorités sur le fait que les équipes de sauveteurs professionnels, bien que très disponibles et réactives, n'ont pas la compétence technique pour intervenir.
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Il plaide pour une meilleure collaboration et coordination entre les différents intervenants, au bénéfice de la victime.
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Il demande aux autorités qu’elles fassent confiance aux spéléologues et qu'elle leur donne les moyens d'être plus efficace.
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Version du 19 mars 2020 à 11:02

Grotte Favot
16 mai 1965
Année 1965
Date 16/05/1965
Massif Vercors
Département Isère
Nombre de Victimes 1
Durée Moins de 12h
Nombre de Sauveteurs Moins de 16

Le dimanche 16 mai, Dominique M., 16 ans, habitant Grenoble, visite la grotte Favot avec un ami. Il est chaussé de tennis et s'éclaire avec une lampe torche, il n'a pas de casque. Il fait une glissade de 8 mètres et enchaîne avec une chute de 15 mètres. Il présente de nombreuses et graves blessures : au fémur, au bassin et au poignet.

Celui qui l'accompagne sort donner l'alerte, il est 18h45. Fernand PETZL prend la direction des opérations. Une équipe iséroise est amenée sur place vers minuit. Sont déjà là de nombreux CRS, pompiers et gendarmes. Aucun ne peut atteindre la victime.

Dans son compte-rendu, Fernand PETZL indique que la Protection civile de Grenoble a mis 2 heures avant de le prévenir. Il met en garde les autorités sur le fait que les équipes de sauveteurs professionnels, bien que très disponibles et réactives, n'ont pas la compétence technique pour intervenir.

Il plaide pour une meilleure collaboration et coordination entre les différents intervenants, au bénéfice de la victime.

Il demande aux autorités qu’elles fassent confiance aux spéléologues et qu'elle leur donne les moyens d'être plus efficace.